En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Com a erva-de-passarinho, para o ano novo !
La superstition du gui est ancestrale et remonte au temps des Celtes. Le gui était une plante chère aux druides, ainsi le 6e jour de l’année celtique, ils le coupaient en s’exclamant “O Ghel an Heu“ : “Que le blé germe !“. Une invocation au printemps à venir après le solstice d’hiver.
Au fil du temps, l’expression s’est déformée pour vouloir dire autre chose : “Au gui l’an neuf“. Si deux ennemis se croisaient sous des branches de gui, ils devaient déposer leurs armes et arrêter les hostilités. Cette trêve est à l’origine de la tradition de s’embrasser sous le gui en signe d’amitié.
Aujourd‘hui, s’embrasser sous une boule de gui le 1er janvier est un symbole de prospérité et de longue vie pour la nouvelle année.
Acrylique sur toile
20cm x 20cm